Bovins de boucherie La hausse des prix se poursuit
L’offre saisonnière reste limitée en lien avec les travaux de fenaison. Pour attirer la marchandise, les abatteurs jouent sur le prix. Au début de la semaine, la remontée des cours se poursuit. Le commerce s’est montré assez soutenu ce week-end dans les pièces à griller ou les brochettes.
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Sur les marchés comme dans les abattoirs, l’animation commerciale est assez soutenue. Les flux sont réguliers dans les bonnes femelles parthenaises, blondes d’Aquitaine, limousines ou charolaises de qualité bouchère.
Sur le marché de Cholet, les bonnes charolaises U–/U= de moins de dix ans se vendent entre 4,15 et 4,20 €. Les vaches charolaises R se négocient à 4,05 € et les rouges des prés R de moins de dix ans partent autour de 3,90 €. Les vaches d’entrée de gamme ou âgées se négocient rapidement autour de 3,80 €.
En réformes laitières, les tarifs progressent également du côté des vaches prim’holsteins P+/O–. Ces dernières se commercialisent entre 2,95 et 3 €, voire quelques centimes de plus chez certains abatteurs. Les vaches P= se vendent entre 2,80 et 2,90 € en fonction du poids.
En jeunes bovins, le commerce reste compliqué dans les animaux de races à viande. Les charolais U= se valorisent autour de 3,85 €.
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